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Pour les entreprises en difficulté ayant souscrit un Prêt Garanti par l’État (PGE), l’annonce de l’étalement du remboursement sur 10 ans et du report de remboursement à fin 2022 s’annonce comme une aubaine. Pour celles qui commercent avec elles également. Mais pour combien de temps ? Qu’adviendra-t-il une fois le remboursement du PGE initié ? Quelle stratégie adopter pendant ce laps de temps pour tirer profit de ce report ? Notre expert vous livre ses réponses.
Profitez du faible niveau de défaillances d’entreprise pour anticiper
Du fait du PGE et des différentes aides apportées par l’État au cours des mois passés, les défaillances d’entreprise sont au plus bas. Le coût du risque est donc naturellement moins élevé. Lorsque la période d’accalmie que nous vivons actuellement commencera à prendre fin, le risque augmentera. Vous serez plus exposés aux impayés et les coûts associés s’envoleront. C’est donc maintenant qu’il faut se poser les bonnes questions et profiter de cette période sereine économiquement pour préparer l’avenir. Nous conseillons d’étudier sans plus tarder la souscription à une assurance crédit pour être couvert ou informé au moment opportun.
Établissez une stratégie de trésorerie en amont du remboursement du PGE
Les nombreuses entreprises ayant souscrit un PGE ont une question supplémentaire à se poser. Comment anticiper l’augmentation de mes besoins en trésorerie lorsque je commencerai à rembourser mon prêt ? Car c’est bien maintenant, alors que votre trésorerie est souple, qu’il faut se poser la question. La stratégie à mettre en place en anticipation du remboursement du PGE repose sans équivoque sur le recours à un financement par anticipation des factures. Adaptable, souple, confortable, l’affacturage présente de nombreux avantages pour couvrir le besoin en fonds de roulement (BFR). N’hésitez pas à vous rapprocher d’un de nos experts pour bénéficier d’un programme d’affacturage sur-mesure et parfaitement adapté à vos besoins.
Le conseil d’Expert
Le contexte que nous traversons n’est que temporaire et impose de se prémunir des impayés. Les assureurs savent que la bonne santé des entreprises n’est qu’artificielle. Pour autant, les prix ne sont pas encore repartis à la hausse. C’est donc le bon moment d’envisager des dispositifs tels que l’assurance crédit ou l’affacturage, pour bénéficier de tarifs accessibles, et anticiper des périodes à venir plus tendues. Les études de ce type de démarche sont gratuites, et réalisées sur-mesure.
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